J'adore...Je n'ai pas le plaisir de te connaître, mais si l'on considère tes centres d'intérêt à travers tes photos et le regard très personnel que l'on devine par-ci par-là, je ne serais pas étonnée que tu sois une artiste...(études?)
alice> effectivement. J'ai bien essayé de passer à côté en commençant par passer une maitrise de langues étrangères axée sur le commerce et le marketing mais les dispositions familiales m'ont rattrappée assez vite...
Anonyme a dit…
Photos délicates et sensibles. Bel assemblage. Que d'émotions ... Vive la pluie !!! Bravo. Bravo. Apollinaire est bien servi.
Anonyme a dit…
It is a nice photo or presentation but I am already lost since I don't read or understand the language.
wow, that's such an emotive post! I like it a lot!
Anonyme a dit…
Mon hommage - il a été á Cologne, le grand poète:
Marizibill Guillaume Apollinaire
Dans la Haute-Rue à Cologne Elle allait et venait le soir Offerte à tous en tout mignonne Puis buvait lasse des trottoirs Très tard dans les brasseries borgnes
Elle se mettait sur la paille Pour un maquereau roux et rose C’était un juif il sentait l’ail Et l’avait venant de Formose Tirée d’un bordel de Changaï
Je connais des gens de toutes sortes Ils n’égalent pas leurs destins Indécis comme feuilles mortes Leurs yeux sont des feux mal éteints Leurs coeurs bougent comme leurs portes
Commentaires
It was raining here in SW England all week, but then again that's England.
les galligrames d'apollinaire sont superbes
Vive la pluie !!!
Bravo. Bravo.
Apollinaire est bien servi.
Have your ever seen two Hondas from the top?
Marizibill
Guillaume Apollinaire
Dans la Haute-Rue à Cologne
Elle allait et venait le soir
Offerte à tous en tout mignonne
Puis buvait lasse des trottoirs
Très tard dans les brasseries borgnes
Elle se mettait sur la paille
Pour un maquereau roux et rose
C’était un juif il sentait l’ail
Et l’avait venant de Formose
Tirée d’un bordel de Changaï
Je connais des gens de toutes sortes
Ils n’égalent pas leurs destins
Indécis comme feuilles mortes
Leurs yeux sont des feux mal éteints
Leurs coeurs bougent comme leurs portes